Une semaine après, l'absence d'éléments cohérents pour expliquer la disparition du vol malaisien MH 370, le 8 mars 2014, avec 239 personnes à bord, au dessus d'une zone maritime particulièrement fréquentée, dans des conditions météorologiques normales, sans revendication particulière, m'interroge profondément.
Toutes mes pensées demeurent en premier lieu pour ces personnes, leurs familles et amis, ainsi que pour les autorités malaisiennes et toutes les équipes et forces mobilisées autour d'elles, avec un très large soutien international, pour retrouver l'avion.
Les trois hypothèses que je formule me conduisent à appeler à des initiatives publiques concertées au niveau international en faveur d'un exodialogue.
En premier lieu, je suis interpellé par la difficulté à disposer d' une chronologie détaillée, précise et cohérente des faits basiques connus, derniers contacts radios, dernières émissions de tous les émetteurs présents à bord, transpondeur, télémaintenance avec le motoriste Rolls Royce, avec l'avionneur Boeing, repérage et identification de tous les plots radars potentiellement concernés par l'événement sur la zone de recherche.
Je suis particulièrement étonné que de nouvelles données satellites disponibles, communiquées tardivement par le détenteur de l'information, six jours après le début de l'événement, introduisent de nouvelles interrogations sur la durée possible du vol, et élargissent encore le champ de recherche (cf communication ce jour 15 mars 2014 du Premier Ministre Malaisien ).
A ce stade, je formule en conséquence trois hypothèses, que j'ai déjà commencé à esquisser dans mon précédent article, "questions sur le vol MH 370", mais qui se consolident à mon sens, au vu des derniers éléments publiés ce jour:
1/ La première hypothèse que j'émets, au vu des incohérences sur les données de base disponibles, une semaine après l'événement, est que la disparition du Vol MH 370 le samedi 8 mars 2014 est liée à un contact de ce vol avec un OVNI, Objet volant non indentifié, UFO Unidentified flighting object, en anglais.
De tels contacts ne peuvent être exclus, cf le site du GEIPAN sur le site français du Centre National des Etudes Spatiales.http://www.cnes-geipan.fr/
2/ Si des OVNI/UFO sont effectivement présents sur terre, alors les constats effectués jusqu'à présent mettent en évidence que les opérateurs de ces OVNIS cherchent à éviter le contact et à demeurer très discrets. Ils ne veulent pas être identifiés à ce stade. On n'en connait pas la raison, mais c'est un fait.
Donc si un contact ou une intervention avec un OVNI/UFO a eu lieu le 8 mars 2014 avec le vol MH 370, la deuxième hypothèse que je formule, c'est que ce contact avec un OVNI a eu lieu à l'initiative d'une entité terrestre, pour chercher à mieux connaitre ces ovnis.
Elle aurait été provoquée, comme un piège tendu, par une entité terrestre, dans une approche elle même en solo et discrète, en usant notamment de la porosité de la sécurité de l'aéroport malaisien pour équiper spécifiquement cette avion d'un attracteur/collecteur ad hoc de données, et en usant de données précédemment acquises dans d'autres circonstances.
3/ Les ovnis/ufos veulent demeurer discrets, comme celui ou celle qui a provoqué cette intervention, il sera donc très difficile d'avoir une explication claire.
Troisième hypothèse que je formule en conséquence, nous entrons donc dans une campagne de désinformation généralisée, au niveau mondial.
Plus que jamais, il nous faudra demeurer dans une attitude ouverte et interrogative, en nous appuyant sur les faits, les faits précis, et rien que les faits.
Quelles suites donner à présent ?
Dans le prolongement des hypothèses que je viens de formuler, il est possible que l'intervention de l'OVNI/UFO, par réaction au piège lancé et qu'il aurait lui même détecté, ait consisté à effacer par flash électromagnétique toutes les données enregistrées de l'avion, avec perte de tous les instruments de navigation. Ceci permettrait d'expliquer après l'intervention, un mode dégradé de vol sans instrument de navigation à l'aveugle, sans capacité de radio, et qui s'est terminé par un crash.
On peut envisager que la nation ou l'entité à l'origine de l'intervention ait pisté l'avion, et dès le crash, ait récupéré les boites noires en effacant dès la nuit de l'accident? toute trace de surface. On devrait alors redécouvrir dans les jours/semaines/mois? à venir ces boites, mais effacées de toute trace sur ce qui s'est exactement passé, et avec une épave de l'avion dégarnie de ses équipements spécifiques de collecte.
Toute nation ou entité qui récupérera ou rendra publique le contenu des boites noires devra être questionnée de façon très approfondie sur le mode de récupération et de traitement de ces boîtes.
Devant le piège, l'OVNI/UFO a pu avoir éliminé toute trace de l'avion. L'OVNI/UFO a pu aussi avoir déplacé ailleurs l'avion avec ses passagers. On peut alors ne jamais retrouver l'avion.
Il faudra alors requestionner toute les personnes, passagers, équipage, mais également les équipes de maintenance, des constructeurs, des équipementiers et de logistique, qui aurait pu approcher l'avion et installer, de manière totalement irresponsable, un dispositif de collecte spécifique voire un piège à ovni/ufo.
Il convient dans le même temps de demeurer à l'écoute de tout autre signal faible précurseur de la présence de ces OVNIS/UFOS, en particulier sur tout autre précurseur portant sur des anomalies de vol, civil ou militaire, ou de perturbation des instruments de navigation ou de transmission de données.
Cela peut paraitre fou ou complétement stupide, mais dans une approche basée sur les faits et uniquement les faits, j'estime que l'interrogation sur cette hypothèse OVNI doit être posée, de façon publique et concertée, à l'échelle internationale.
L'expérience nous révèle que la réalité dépasse souvent la fiction.
L'exodialogue proposée il y a deux semaines dans ce blog, le 28 février 2014, avant même la disparition du MH 370, demeure alors plus que jamais d'actualité:
- dans une approche prudente, reposant sur les faits, les faits précis, rien que les faits, car la désinformation peut être partout,
- résolue car la disparition d'un avion avec 239 personnes à bord ne peut pas demeurer sans explication,
- dans une approche collective concertée, volontaire, au niveau international, publique et transparente, et non en solo de façon totalement irresponsable qui pourrait elle être initiée par quelques fous et conduire à de nouvelles folies destructives.