La concentration excessive de quelques fortunes mondiales engendre des foyers de misère, de terreur et de violence à travers tout le monde pour tenter d'asseoir leur domination.
Les migrations organisées de masse, la destruction irréversible de la planète, et les guerres interminables avec des crimes contre l'humanité comme celle entretenue en Syrie depuis maintenant plus de dix ans sont des marqueurs de cette violence établie aujourd'hui au niveau mondial.
L'histoire nous dira à quel niveau la crise covid initiée en 2019 voire avant, en aura été un aussi.
Quelques oligarques entendent user de leurs privilèges de classe induits par la concentration de pouvoirs que nous avons collectivement laissée installer.
Lorsque les déséquilibres sont devenus complètement délirants comme ils le sont aujourd'hui, avec une propagande installée de masse qui ne suffit plus à colmater leurs horreurs, les processus d'effondrement libèrent de fait l'action collective.
Aucun mensonge, aucune corruption ne sont éternels.
Il n 'y a aucune fatalité, ni à la misère. Ni à l'oppression. Ni à l'esclavagisme.
C'est dans la conscience partagée de l'action collective qui se libère, qui s'exprime, qui se lève, qu'une nouvelle ère s'ouvre.
A nous citoyens de redéfinir dans ces moments divers de très forte turbulence de nouveaux modes d'action et de gouvernance publique pour repousser aussi loin que possible, les proies à la corruption, qu' elles concernent autant nos esprits, nos âmes ou nos simples cités ou territoires.
La prise de conscience doit autant porter sur les processus d'effondrement qui dénouent les mensonges - clé de voûte de toute corruption - que sur les leviers d'action qui sont libérés dans l'action collective au service enfin rétabli des plus faibles et de l' intérêt general.
Le temps alors s'accélère.
Celui de la révolution qui demeure inéluctablement en marche.
Le temps de la révolution
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