La crise covid est sanitaire, requérant priorité une à la santé publique et à la protection de la population.
Elle est aussi et tout autant crise politique.
1/ la vaccination n'est pas obligatoire, mais le Gouvernement fait tout pour "emmerder" ceux qu'ils ne s'y plient pas , ce qui rend de fait obligatoire la vaccination, comme le reconnaît lui même le Ministre de la Santé. Le Gouvernement et les élus qui le soutiennent devront assumer les conséquences juridiques qui en résultent.
2/De très nombreuses questions demeurent ouvertes, évaluation risque bénéfice de la vaccination pour les plus jeunes, effet long terme des vaccins massivement distribués à la population, transparence des conditions techniques, financières et générales des vaccins massivement distribués à la population, traitement précoce du covid, renforcement du système de soin, conflits d'intérêt dans les personnes qui donnent des conseils à la puissance publique et qui donnent de l' information aux médias
3/ le nombre d'effets indésirables constatés des vaccins massivement distribués est en très grand nombre de cas graves qui se comptent en France en plusieurs milliers ( cf publications Ansm). Le bilan risque / bénéfice de la vaccination, notamment pour les jeunes générations, faiblement affectés par les cas graves du covid, doit être reinterrogé en conséquence.
4/ la mortalité en Europe, toutes causes confondues, présente une élévation notablement anormale en 2021 par rapport à 2020, notamment pour les jeunes générations avec des dizaines de milliers de cas en plus par rapport à 2020, alors que nous disposons en Europe de populations massivement vaccinées en 2021 (cf site danois www.euromomo.com qui collecte les données hebdomadaires de mortalité pour l'Europe )
5/ Le comportement de l'actuel Président de la République en France, qui injurie une partie de la population, relève d' un manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l' exercice de ses fonctions